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Monday, June 20, 2011

HANDKE/ PHILLIP GLASS "TRACES OF THE LOST"

 

You’re currently writing an opera, The Lost, based on a play by the avant garde Austrian novelist/playwright Peter Handke. Why were you attracted to this project?
This is for the opening of a new opera house in Linz, Austria — they asked me to be the composer for the premier. I had to find an Austrian writer, and that’s the one I liked. Fortunately, he was alive! So I contacted him.
I had just had a big opera out there, which he saw, and he had a play called Footprints of the Lost, and he seemed very pleased with it. It’s being adapted to the stage, and I’m working on it now. The writer is Rainer Mennicken,Dennis Russell Davies is conducting, and David Toutney will be the director.
What’s the story?
It’s a fairly abstract story. The characters don’t have names, they only have letters. There’s lots of them, crossing from stage right to stage left. It’s a panorama of the human condition, you might say, but in a very Beckett point of view, with social and political commentary. The human condition is on display, sometimes in a very funny and humorous way, and sometimes a very sad way. I like it because it leaves a lot of room for the composer to flex his musical muscles.
How do you see yourself flexing your muscles here?
I’ve done a lot of operas by now. I have a very good grasp of orchestration. Balancing instruments and voices is something I’ve leaned a lot about over the last 40 years.
It’s a very choristic piece, with dance, and actors. It’s the opening night of this opera house, so it’s appropriate thatThe Lost includes dance, theater and opera, and all of these elements are a part of it. I have so much experience in all of these modalities of theater, and I feel comfortable 

 



http://handke-drama.blogspot.com/2010/05/index-page-for-this-and-all-other.html


Saturday, June 11, 2011

Peter Handke, en son dégoût du monde Jacques Franck

 Peter Handke, en son dégoût du monde,Jacques Franck,,Mis en ligne le 06/06/2011,,L’écrivain autrichien publie des carnets et deux récits poétiques et noirs. Alain-Claude Sulzer et Hans Fallada questionnent des drames sociaux.,S’il est sans doute l’écrivain de langue allemande le plus connu de par le monde, Peter Handke, né en 1942 en Carinthie, en est sans doute le plus solitaire. Après un début tonitruant au théâtre avec "Insultes au public" (1966), il s’en prit violemment à ses aînés du Groupe 47 (qui révélèrent Heinrich Böll, Günter Grass, Ingeborg Bachmann, Uwe Johnson, etc.), leur reprochant leur "nouveau réalisme" qui décrit le monde sans s’interroger sur le langage dans lequel il le décrit. En fait, résume Jean-Louis Bandet, sa véritable cible était la "littérature engagée" que prêchait Jean-Paul Sartre : "Pour Handke, l’écrivain qui applique les préceptes de Sartre ne décrit pas la réalité telle qu’elle est, mais telle qu’il voudrait qu’elle soit, il pratique une écriture normative, utopique, une écriture qui n’est plus que moyen au service d’une fin extérieure à tout art littéraire" (in "Histoire de la littérature allemande", PUF).,,Handke va dès lors se vouer à la recherche d’une écriture qui soit authentiquement et uniquement artistique, et explorer toutes les possibilités du langage. Marqué un temps par les auteurs français du Nouveau Roman, il ira jusqu’à dynamiter le récit, laissant ses personnages de plus en plus isolés dans un monde de signes incompréhensibles ("La Femme gauchère", 1978). Par la suite, il renoncera à son écriture de plus en plus laconique pour s’inspirer de la grande prose classique d’un Goethe ou d’un Stifter. Il s’intéressera aussi de plus en plus à l’apparente banalité des choses - un insecte, un juke-box - pour leur arracher leur "secret", pour atteindre une réalité plus signifiante que ce qu’elles livrent au premier regard.,,On le vérifiera au fil des milliers de notations recueillies dans les carnets que Handke a tenus de novembre 1987 à juillet 1990, années d’itinérance avant son installation définitive en France. "Hier en chemin" prend le relais de "A ma fenêtre le matin", qui couvrait les années 1982-1987. On y trouve un effort quotidien de clarification, d’"explication de soi à soi". Chacun peut y trouver de quoi allumer/alimenter sa propre réflexion, aiguiser son propre regard, tout en s’émerveillant du scintillement d’une image, de l’éclat d’une formule. A condition, toutefois, d’entrer en résonance avec cet auteur exigeant. Un auteur qui professe : "Rien ne touche au divin comme le langage - les possibilités du langage" (p. 352).,,Simultanément paraissent deux récits qui témoignent d’une sorte de retrait de Handke dans l’imaginaire du conte. On sait son dégoût du monde contemporain - on se souvient du parti qu’il prit pour les Serbes et de la gerbe qu’il déposa en 2006 sur la tombe de Milosevic. Dans "Kali", une cantatrice cherche à retrouver un enfant disparu dans une ville peuplée de réfugiés, construite autour d’une mine de potasse, tandis que la Troisième Guerre mondiale fait rage. Dans "La Nuit Morave", un écrivain a convié quelques amis sur une péniche, "La Nuit Morave", amarrée sur la Morave, un affluent serbe du Danube. Après le repas, il se lance dans un monologue ponctué seulement par le coassement des grenouilles sur les berges. Ce récit, qui parle surtout de solitude, de perte et d’amour, est réputé un des plus poétiques de l’auteur.,,Parmi les derniers ouvrages du monde germanique traduits en français, citons "Le Buveur" de Hans Fallada (1893-1947), une des figures les plus marquantes de la littérature réaliste allemande du XXe siècle. Son roman "Seul dans Berlin" (1947), qui raconte la résistance de petites gens au nazisme et à la Gestapo, est inoubliable. "Le Buveur" raconte la tragique dérive du prospère propriétaire d’un magasin de produits agricoles, heureusement marié depuis quinze ans, que des échecs pas vraiment insurmontables vont précipiter dans l’alcoolisme et le suicide social. Fallada parlait d’or : il ne se guérit jamais de sa propre addiction à l’alcool.,,Né en 1953, vivant à Bâle, Alain-Claude Sulzer jette un regard douloureux sur "Une autre époque". Un garçon de seize ans s’interroge sur son père, qui est mort à sa naissance et dont sa mère ne parle guère. Trouvant derrière sa photographie l’adresse du photographe parisien qui l’a prise, il se rend à Paris pour tenter d’en savoir plus. Il y découvre un milieu artistique et l’homosexualité dont il ignorait tout - une autre époque ! Il y découvre surtout le chemin de croix de son père : clinique psychiatrique pour redevenir "normal", mariage forcé pour afficher sa "guérison", amours clandestines, chantage, suicide. Un roman d’une implacable cruauté dans la description d’une époque où des homosexuels étaient acculés à préférer la mort à la honte. Une époque qui n’a pas disparu partout et continue de provoquer bien des drames. Alain-Claude Sulzer a obtenu le prix Médicis étranger en 2008 pour "Un garçon parfait".,,SAVOIR PLUS,Hier en chemin Peter Handke traduit de l’allemand par OlivierLe Lay Verdier 440 pp., env. 26 €,,Kali. Une histoire d’avant-hiver Peter Handke traduit de l’allemandpar G.-A. Goldschmidt Gallimard 120 pp., env. 15 €,,La Nuit Morave Peter Handke trad. O. Le Lay Gallimard 398 pp.,env. 23 €,,Le Buveur Hans Fallada traduit de l’allemand par Laurence Courtois Denoël 400 pp., env. 25 €,,Une autre époque Alain-Claude Sulzer traduit de l’allemandpar Johannes Honigmann Jacqueline Chambon 272 pp., env. 21 €

"Handke-Idiot-Savant" Prize


 "Handke-Idiot-Savant" Prize

 Dotiert at 10 k Katharina shells, convertible in the South Seas.
 
With Oak Leaf Clusters and Swords.
Conches and Mollusks



In order to lend the prize the proper authenticity and gravitasit ought, maybe, be awarded first to the man whose savantry it evokes. Since i am instituting the prize it is herewith awarded to Peter Handke, winner of the Buechner, Thomas Mann, Kafka, Heine and too many prizes to count some of which he then accepted even though he said about ten years ago that he would accept no more prizes. Little ones he says he like, like the Kafka Prize.
I have it from a most intimate source that he can wake up at night:
"Nobel, Nobel, wo bleibst du? Warum flirtest du nur mit mir?"

THE TIME HAS COME THAT THE PRIZE IS MORE HONORED BY IT BEING GIVEN TO HANDKE THAN HANDKE HIMSELF ACTUALLY WINNING IT, THUS 
THE
HANDKE-IDIOT SAVANT PRIZE



 "Chicquita abracas a todos"

MICHAEL ROLOFF

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